Collectif Préservons Melles

Étaient présents : Alban Dubois - Jean-Michel Desplan - Chantal Ayouaz - Henri Desplan

Excusée : Régine Fortis

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• Approbation du compte-rendu du Conseil Municipal du 13 novembre 2024 (sans lecture publique)

Approuvé à l’unanimité

• Point ajouté à l’ordre du jour : Création d’un poste de rédacteur. 

Cynthia est éligible au grade de rédactrice.

Il faudrait donc créer un poste de rédactrice pour changer son statut.

 Cela signifie pour elle une augmentation conséquente de salaire.

Mais il faudrait aussi le créer à St Béat puisque Cynthia y travaille le reste de son temps 

Approuvé à l’unanimité

• Réhabilitation du presbytère

Le projet est d’installer un fournil de boulanger pour la fabrication du pain sans vente directe.

Donc sans accueil du public, la vente se faisant dans des dépôts de pain ou sur les marchés.

Les plans d’architecte sont faits et les devis en cours.

Les demandes de subventions devant être envoyées avant le 31 décembre.

Le four serait un four métallique qui serait situé à l’intérieur du bâtiment. 

Pour l’instant seul le rez-de-chaussée serait réhabilité, avec seulement des installations de sanitaires au 1er étage et de l’isolation.

Le montant des travaux devrait ne pas dépasser 100.000 € hors taxes et concerner uniquement les gros travaux, électricité, placo, plomberie, les finitions étant réalisées par un chantier participatif durant l’été 2025 et une installation fin 2025.

Le pain sera fait avec de la farine bio et du levain naturel dans un four à bois.

Approuvé à l’unanimité

• Maison municipale anciennement occupée par Thomas Pelicer. 

Le commodat de 10 ans arrive à son terme le 31 décembre 2024. La commune ne pouvant pas garder ce bâtiment, souhaite vendre ce bien. Il y a trop de travaux à faire dedans et l’investissement serait trop long à amortir. L’objectif est de le vendre au moins 100.000€ afin de financer le projet de boulangerie et donc les travaux de rénovation du presbytère.

Approuvé à l’unanimité

• Renouvellement du PEFC (Programme de reconnaissance des certifications forestières)

L’engagement de la commune au PEFC arrive à échéance. C’est l’équivalent d’un label.

Cela permet de mieux vendre le bois et assure une gestion durable de la forêt.

 Le coût est de : 1,25€ de l’hectare, soit entre 2.300 et 2.500 € pour 5 ans.

 Approuvé à l’unanimité

Questions diverses

• Matériel entreposé dans le presbytère : pour grande partie il s’agit du matériel du CAM, le comité des fêtes, pour lequel il va falloir trouver une autre place de stockage et ensuite de beaucoup de choses à trier et sûrement jeter. A ce jour, la solution est à trouver pour le matériel du CAM.
• Q : Sylvie Salaün présente au CM, demande s’il y a déjà une ou un candidat à ce poste de boulanger. 

Le Maire répond qu’il y a quelqu’un qui va prendre ce poste. Il s’agit d’une femme, ayant travaillé pendant 13 ans pour l’Education Nationale, en reconversion de CAP boulangerie, en formation. C’est donc une débutante et le Maire entend lui faire confiance.

La candidate sera donc locataire, avec une DSP (délégation de service public)

• Dans le bâtiment, à l’arrière, le vieux corbillard de la commune est entreposé. Il n’a pas servi depuis plus de 10 ans (30 ans d’après Gérard Amiel qui assistait au CM). Où le mettre ?

 Il faudrait peut-être le vendre.

• A Labatch coupure de la fibre par une chute d’arbre lors des derniers forts coups de vent. Le quartier est resté sans la fibre plus d’une semaine. La mairie a tenté de régler ce problème avec les Télécom, sans succès. C’est avec Fibre 31 qu’il faut régler. Sans la bonne information, la commune a perdu plus de deux jours dans la résolution de ce problème.

Q : Gérard Amiel demande s’il est possible que le village reste éclairé les 2 nuits des réveillons de fin d’année. Le Maire soulève la difficulté qu’il y a à régler les horloges manuellement. Toutefois Mika sait le faire et cela a été fait au 15 août pour la fête locale. Le maire va voir ce qu’il est possible de faire.

• Mica est en vacances pour 3 semaines. Il ne part pas, précise le Maire et il est d’accord pour déneiger si nécessaire. 

Q : Sylvie Salaün demande pourquoi à cette époque de l’année il n’est pas remplacé. 

Le Maire fait part de la difficulté à recruter pour si peu de temps d’une part, et d’autre part de la difficulté à conduire le Minimog. Jean-Michel ajoute qu’il sera compliqué et même dangereux pour quelqu’un ne connaissant pas les routes de Melles de déneiger. Le maire rappelle qu’il y a une convention avec la DDE pour que Melles déneige ses routes en contrepartie d’une prise en charge partielle du coût de l’employé communal. 

C’est une convention à conserver, toutefois le vieillissement du matériel est soulevé.   

Fin du conseil à 19h30.